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Environmental impact of smartphones: what are the benefits of reconditioning compared to new?

Published on 19 October 2022
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Summary

A studyconducted jointly by Ademe (French Agency for Ecological Transition) and Arcep in early 2022 had drawn up an inventory of the impact of digital services in France: the main lesson of this study was that manufacturing was the stage of the life cycle with the greatest environmental impact. And the "terminal" part (i.e. our digital devices) is by far the most significant part.

The Ademe undertook to measure the environmental benefits generated by the reconditioning of equipment: a work carried out initially on smartphones.

The benefits of reconditioning

To measure the environmental benefits of refurbishing, Ademe worked with all stakeholders in the sector in France. It has initially focused on smartphones, with further results to come later on other equipment (computers, tablets and game consoles).

Several interesting figures emerge, which are variable averages depending on certain criteria, such as the length of time the product has been in use prior to its reconditioning and the conditions of this reconditioning.

  • On average, the purchase of a refurbished smartphone would reduce the annual environmental impact by 77% to 91% compared to a new purchase, depending on the indicators.
  • On the "climate change" footprint, in particular, the impact drops by 87%. This choice also avoids the extraction of 82 kg of raw materials and the emission of 23 kg of greenhouse gases over one year per refurbished smartphone (versus new).
  • The longer the reconditioned device is used, the greater the savings in materials and greenhouse gases - as long as the reconditioned device is substituted for a new one.

Raphaël Guastavi, Head of the Ecodesign & Recycling Department at Ademe (French Agency for Ecological Transition) reminds that his team did not seek in this study "neither to minimize nor to maximize the environmental benefit, since we took into account cases where key parts such as the screen and the battery were changed: even in these cases and including when new accessories are included in the sale - charger and earphones, which is often the case - the environmental impact remains more than 2 to 4 times less important than in the production of a new equipment. And this, even if the reconditioning is carried out abroad, in Eastern Europe or in China, for example.

Taking into account these elements and the predominant role of the manufacturing phase in the environmental impact of digital technology, concludes Raphaël Guastavi, " it seems essential to limit over-equipment, to extend the life of devices as much as possible, by maintaining them, by having them repaired and by turning to second-hand or reconditioning when changing them, this last option offering guarantees of functioning.

Best practices for optimal reconditioning

Reconditioning is not without its impacts, so it is preferable for consumers to choose products that are locally reconditioned and to avoid reconditioned models that are too recent in order to encourage the logic of extended use.

As far as refurbishers are concerned, several avenues exist to improve the footprint of their practice: try to collect used phones locally, favor second-hand spare parts, propose to the customer not to systematically provide new accessories and deploy repair workshops in France rather than abroad.

It is also a question of professionalizing refurbishing. "First, by offering a quality service approach with good after-sales service to give customers confidence in purchasing reconditioned equipment. Also by optimizing processes, developing innovation, and automating certain tasks in order to achieve economies of scale and, in turn, lower prices to make the price difference between new and refurbished more attractive. Finally, by reducing the energy and water consumption of the refurbishment site, which weighs heavily on its footprint.

Référence :

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Evaluation de l’impact environnemental du numérique en France : les terminaux, premier vecteur d’impacts environnementaux

De nombreux rapports ont été publiés ces dernières années alertant sur l’empreinte carbone du secteur et son évolution. Selon le rapport de la mission d’information sur l’empreinte  environnementale du numérique du Sénat, l’empreinte carbone de celui-ci pourrait augmenter de manière significative si rien n’est fait pour la limiter (+ 60 % d’ici à 2040 soit 6,7 % de l’empreinte carbone nationale).Si toutes les études concordent dans les tendances et ordres de grandeur à l’œuvre, en particulier concernant la question de l’empreinte carbone, elles comprennent néanmoins des variations importantes. Ces variations tiennent pour l’essentiel aux méthodologies d’évaluation et aux données mobilisées.Le Gouvernement a confié à l’ ADEME (Agence de la transition écologique) et à l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse) la réalisation d’une étude conjointe sur l’évaluation de l’impact environnemental du numérique en France. Un impact environnemental concentré sur les terminaux L’essentiel de l’impact environnemental du numérique provient des terminaux, quel que soit l’indicateur considéré parmi les quatre identifiés. Ils représentent a minima 65 % des impacts et jusqu’à plus de 90 % pour l’épuisement des ressources abiotiques naturelles (métaux et minéraux).Si l’impact des téléphones est substantiel, il est loin d’être majoritaire. Les mesures visant l’allongement de la durée d’usage des terminaux doivent en conséquence aller bien au-delà de ces derniers.Les équipements IoT (Internet des Objets) représentent pour l’heure une part assez faible (moins de 7 %) de l’empreinte  des terminaux. Leur potentiel de développement de marché pourrait cependant modifier les effets  environnementaux associés.Au sein de la catégorie « écrans et matériel audiovisuel », les box TV représentent une part assez marginale de l’impact environnemental alors que les téléviseurs représentent une part largement majoritaire (probablement liée aussi, à un niveau d’équipement des foyers français supérieur aux autres écrans considérés) suivis des écrans d’ordinateurs. « Il paraît donc nécessaire d’adresser l’impact  environnemental de l’ensemble des terminaux et notamment des plus dimensionnants d’entre eux  (téléviseurs, ordinateurs, etc.). » La part prépondérante des serveurs dans l’empreinte environnementale des centres de données Les centres de données représentent le second vecteur d’impacts environnementaux.En analysant plus en détail les équipements constituant un centre de données, ce sont les serveurs en particulier et le stockage dans une moindre mesure qui génèrent le plus d’impact sur l’épuisement des ressources abiotiques naturelles (métaux et minéraux) et l’empreinte carbone. « L’impact des centres  de données sur l’épuisement des ressources abiotiques naturelles (fossiles) et les radiations ionisantes est essentiellement dû à la consommation d’énergie des serveurs et des lots techniques. Ce sont les serveurs qui dans tous les cas génèrent le plus d’impact via leur fabrication et leur utilisation ».L’étude met en évidence le rôle des serveurs d’entreprises et de colocation (centres de données au sein desquels plusieurs clients hébergent et opèrent leurs propres équipements informatiques) qui sont à l’origine de l’essentiel des impacts (plus de 80 % pour chaque indicateur  environnemental). « L’étude ne permet cependant pas de déterminer dans quelle mesure ces résultats sont le fruit d’un effet « volume » lié au nombre de serveurs d’entreprises et de colocation ou si un sujet particulier doit être adressé. Par ailleurs, il convient de noter que ce sont uniquement les centres de données présents sur le territoire national qui sont modélisés ». Les réseaux, troisième vecteur d’impacts environnementaux Sur l’ensemble des trois briques (terminaux, centres de données, réseaux), ces derniers  représentent le dernier vecteur d’impacts  environnementaux pour les quatre indicateurs considérés : de l’ordre de 5 % des impacts environnementaux du numérique pour l’empreinte carbone et un peu plus de 10 % pour l’épuisement des ressources abiotiques naturelles et les radiations ionisantes.Les réseaux fixes concentrent la majorité des impacts (entre 75 et 90 % des impacts suivant l’indicateur). « Rapporté à la quantité de Go consommée sur chaque réseau, l’impact environnemental des réseaux fixes devient inférieur à celui des réseaux mobiles. Par Go consommé,  les réseaux mobiles ont près de trois fois plus d’impact que les réseaux fixes pour l’ensemble des indicateurs environnementaux étudiés ».En effet, ajoutent les auteurs du rapport, « les réseaux ont une consommation très largement fixe et indépendante du trafic (plutôt fonction du degrés de couverture géographique). L’augmentation du trafic a donc pour effet de  baisser l’impact environnemental par Go de données et peut augmenter l’impact environnemental  total associé aux réseaux mais pas de manière proportionnelle ». « Tous les acteurs de l’écosystème  doivent prendre leur part pour un numérique soutenable » « Cette étude permet d’affiner l’évaluation de l’impact environnemental du numérique », observent, en conclusion les auteur.trice.s du rapport.« Au-delà de  l’évaluation elle-même, observe en conclusion les auteurs, l’étude confirme la complexité de l’exercice et identifie les obstacles les plus  structurants à lever afin d’améliorer la mesure. (…)  Elle a ainsi permis  d’identifier quatre indicateurs environnementaux pertinents pour décrire l’impact environnemental  du numérique en France renforçant la nécessité d’avoir une approche ACV multicritère : les radiations ionisantes, l’épuisement des ressources abiotiques naturelles (métaux et minéraux), l’épuisement des ressources abiotiques naturelles (fossiles), l’empreinte carbone. » L’étude confirme que les terminaux sont à l’origine de l’essentiel des impacts (de 65 à 90 %), pour tous les indicateurs suivi des centres de données (de 4 à 20 %) puis des réseaux (de 4 à 13 %), « il apparaît donc impératif d’adresser l’impact environnemental de l’ensemble des terminaux et notamment des  plus dimensionnants d’entre eux (téléviseurs, ordinateurs, etc.) ».Pour autant, la question doit être adressée globalement :« En effet, cette répartition d’impact ne doit pas occulter la dimension écosystémique du numérique : l’interdépendance entre terminaux, réseaux et centres de données créée par les usages doit être prise en compte dans l’élaboration de politiques publiques adressant le  sujet de l’impact environnemental du numérique dans son ensemble. Tous les acteurs de l’écosystème  doivent prendre leur part pour un numérique soutenable ». Les travaux de l’Ademe et de l’Arcep  devraient aider à lever certains des obstacles identifiés. En particulier, les travaux de l’ADEME afin de préciser les méthodologies existantes pour des catégories de produits continuent. De son côté, l’Arcep poursuit ses travaux pour la définition d’un  baromètre environnemental du numérique.« L’ADEME et l’Arcep continueront leur collaboration  dans la dernière phase de cette étude, relative à l’élaboration de scénarii prospectifs, et plus généralement dans le cadre de l’observatoire des impacts du numérique » (créé par la loi visant réduire l'empreinte environnementale du numérique en France).

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Sources

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    Evaluation of the environmental impact of digital technology in France: terminals, the main vector of environmental impacts

    Numerous reports have been published in recent years alerting to the carbon footprint of the sector and its evolution. According to the report of the mission of information on the environmental footprint of the digital sector report, the sector's carbon footprint could increase significantly if nothing is done to limit it (+60% by 2040, i.e. 6.7% of the national carbon footprint).While all the studies agree on the trends and orders of magnitude at work, particularly with regard to the carbon footprint, they nevertheless include significant variations. These variations are essentially due to the evaluation methodologies and the data used.The Government has entrusted ADEME (Agency for Ecological Transition) and Arcep (Regulatory Authority for Electronic Communications, Posts and Press Distribution) with a joint study on assessing the environmental impact of digital technology in France. An environmental impact concentrated on the terminals Most of the environmental impact of digital technology comes from terminals, regardless of which of the four indicators identified is considered. They account for at least 65% of the impact and up to 90% for the depletion of natural abiotic resources (metals and minerals).While the impact of phones is substantial, it is far from being the majority. Measures aimed at extending the duration of use of terminals must therefore go well beyond them.IoT (Internet of Things) devices currently represent a relatively small share (less than 7%) of the terminal footprint. However, their market development potential could change the associated environmental effects.Within the "screens and audiovisual equipment" category, TV boxes account for a fairly marginal share of the environmental impact, while televisions account for a large majority (probably also due to the fact that French households have a higher level of equipment than the other screens considered), followed by computer screens. "It therefore seems necessary to address the environmental impact of all terminals, and in particular the largest of them (televisions, computers, etc.). The preponderance of servers in the environmental footprint of data centers Data centers represent the second largest source of environmental impacts.When analyzing in more detail the equipment that makes up a data center, it is the servers in particular and the storage to a lesser extent that generate the most impact on the depletion of natural abiotic resources (metals and minerals) and the carbon footprint. " The impact of data centers on the depletion of natural abiotic resources (fossil fuels) and ionizing radiation is mainly due to the energy consumption of the servers and the technical packages. It is the servers that in any case generate the most impact through their manufacture and use.The study highlights the role of enterprise and colocation servers (data centers in which multiple customers host and operate their own IT equipment) as the source of most of the impacts (over 80% for each environmental indicator). "However, the study does not allow us to determine to what extent these results are the result of a "volume" effect related to the number of enterprise servers and colocation or whether a specific issue needs to be addressed. In addition, it should be noted that only data centers present on the national territory are modeled." Networks, the third most important environmental impact vector Of the three building blocks (terminals, data centers, networks), these represent the last vector of environmental impacts for the four indicators considered: around 5% of the environmental impacts of digital technology for the carbon footprint and a little over 10% for the depletion of natural abiotic resources and ionizing radiation.Fixed networks concentrate the majority of impacts (between 75 and 90% of impacts depending on the indicator). " In relation to the amount of Gb consumed on each network, the environmental impact of fixed networks becomes lower than that of mobile networks. Per GB consumed, mobile networks have nearly three times more impact than fixed networks for all environmental indicators studied.Indeed, the authors of the report add, " networks have a very largely fixed consumption independent of traffic (rather a function of the degree of geographical coverage). Increasing traffic therefore lowers the environmental impact per GB of data and may increase the total environmental impact associated with networks, but not proportionally. "All the players in the ecosystem must do their part for a sustainable digital world "This study makes it possible to refine the evaluation of the environmental impact of digital technology," the authors of the report observe in conclusion. Beyond the evaluation itself," the authors conclude, "the study confirms the complexity of the exercise and identifies the most structuring obstacles to be removed in order to improve the measurement. (...) It has thus identified four relevant environmental indicators to describe the environmental impact of digital technology in France, reinforcing the need for a multi-criteria LCA approach: ionizing radiation, the depletion of natural abiotic resources (metals and minerals), the depletion of natural abiotic resources (fossils), carbon footprint." The study confirms that terminals are the source of most of the impacts (from 65 to 90%), for all indicators, followed by data centers (from 4 to 20%) and then networks (from 4 to 13%), "it is therefore imperative to address the environmental impact of all terminals and particularly the largest of them (televisions, computers, etc.)".However, the question must be addressed globally:"Indeed, this distribution of impact must not obscure the ecosystemic dimension of digital technology: the interdependence between terminals, networks and data centers created by usage must be taken into account in the development of public policies addressing the environmental impact of digital technology as a whole. All the players in the ecosystem must do their part to make digital technology sustainable. The work of ADEME and Arcep should help to remove some of the obstacles identified. In particular, ADEME's work to clarify existing methodologies for product categories continues. For its part, Arcep is continuing its work to define a digital environmental barometer."ADEME and Arcep will continue their collaboration in the last phase of this study, relating to the development of prospective scenarios, and more generally in the framework of the observatory of digital impacts " (created by the law aimed at reducing the environmental footprint of digital technology in France).

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    Published on 09/02/22

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The Ademe undertook to measure the environmental benefits generated by the reconditioning of equipment: a work carried out initially on smartphones.

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To measure the environmental benefits of refurbishing, Ademe worked with all stakeholders in the sector in France. It has initially focused on smartphones, with further results to come later on other equipment (computers, tablets and game consoles).

Several interesting figures emerge, which are variable averages depending on certain criteria, such as the length of time the product has been in use prior to its reconditioning and the conditions of this reconditioning.

  • On average, the purchase of a refurbished smartphone would reduce the annual environmental impact by 77% to 91% compared to a new purchase, depending on the indicators.
  • On the "climate change" footprint, in particular, the impact drops by 87%. This choice also avoids the extraction of 82 kg of raw materials and the emission of 23 kg of greenhouse gases over one year per refurbished smartphone (versus new).
  • The longer the reconditioned device is used, the greater the savings in materials and greenhouse gases - as long as the reconditioned device is substituted for a new one.

Raphaël Guastavi, Head of the Ecodesign & Recycling Department at Ademe (French Agency for Ecological Transition) reminds that his team did not seek in this study "neither to minimize nor to maximize the environmental benefit, since we took into account cases where key parts such as the screen and the battery were changed: even in these cases and including when new accessories are included in the sale - charger and earphones, which is often the case - the environmental impact remains more than 2 to 4 times less important than in the production of a new equipment. And this, even if the reconditioning is carried out abroad, in Eastern Europe or in China, for example.

Taking into account these elements and the predominant role of the manufacturing phase in the environmental impact of digital technology, concludes Raphaël Guastavi, " it seems essential to limit over-equipment, to extend the life of devices as much as possible, by maintaining them, by having them repaired and by turning to second-hand or reconditioning when changing them, this last option offering guarantees of functioning.

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Reconditioning is not without its impacts, so it is preferable for consumers to choose products that are locally reconditioned and to avoid reconditioned models that are too recent in order to encourage the logic of extended use.

As far as refurbishers are concerned, several avenues exist to improve the footprint of their practice: try to collect used phones locally, favor second-hand spare parts, propose to the customer not to systematically provide new accessories and deploy repair workshops in France rather than abroad.

It is also a question of professionalizing refurbishing. "First, by offering a quality service approach with good after-sales service to give customers confidence in purchasing reconditioned equipment. Also by optimizing processes, developing innovation, and automating certain tasks in order to achieve economies of scale and, in turn, lower prices to make the price difference between new and refurbished more attractive. Finally, by reducing the energy and water consumption of the refurbishment site, which weighs heavily on its footprint.

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Ce sont les serveurs qui dans tous les cas génèrent le plus d’impact via leur fabrication et leur utilisation ».L’étude met en évidence le rôle des serveurs d’entreprises et de colocation (centres de données au sein desquels plusieurs clients hébergent et opèrent leurs propres équipements informatiques) qui sont à l’origine de l’essentiel des impacts (plus de 80 % pour chaque indicateur  environnemental). « L’étude ne permet cependant pas de déterminer dans quelle mesure ces résultats sont le fruit d’un effet « volume » lié au nombre de serveurs d’entreprises et de colocation ou si un sujet particulier doit être adressé. Par ailleurs, il convient de noter que ce sont uniquement les centres de données présents sur le territoire national qui sont modélisés ». 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Sources

Labo Société Numérique

Labo République Française Agence nationale de cohésion des territoires
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